Sunny in the sky... Ehm, in the fo' ! [100%]

I - Identité

Nom :

Prénom :

Surnom :

Âge :

Orientation Sexuelle :

Personnage Prédéfini :

Non

Groupe :

Famille :

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II - Description

Un secret : Elle a une tumeur au cerveau et elle est porteuse de cellules cancéreuses que ne se sont pas encore déclarées.

Ses Projets : Etant donné son état de santé les projets sur le long-terme pour elle son un peu difficiles, mais elle espère tout de même devenir designer d'habits.

Physique :

Je suis normale. Ne serait-ce pas un peu cours comme description ? Je vous l'accorde. Mais pourtant cela me résume bien. Comme toutes les asiatiques je ne suis pas très grande, mais au moins lorsque je perd l'équilibre je ne tombe pas de très haut, je limite les dégâts dirons-nous. Que pourrais-je dire d'autre sur moi ? Je n'aime pas me décrire car je trouve mon corps complètement déformé a cause des maladies ! Mais bon, je vis avec tous les jours alors je suis la seule qui soit capable de vous dire comment je suis. Je dois peser entre quarante -trois et quarante-cinq kilos, je me ballade toujours entre les deux sans jamais vraiment me fixer, encore une fois, la maladie m'empêche de grossir, parce que vu comment je mange c'est encore étonnant que je ne fasse que ce petit poids là.

Mes cheveux sont mi-long, marrons et je les laisse souvent faire ce qu'ils veulent, donc je ne peux pas vous dire quelle est ma coiffure. Je vais très rarement chez le coiffeur, je préfère demander à ma demie-soeur de couper mes pointes ou de retoucher ma frange. Je ne suis pas très coquette mais j'estime que mon visage n'a pas besoin de maquillage. J'ai la peau lisse et claire de nature, donc le fond de teint on oublie. La seule chose que je met dessus le matin c'est un peu d'anti-cernes. Par contre, je porte quelques bijoux, ils me rappellent tous les membres de ma famille, j'ai un collier que portait mon père, une bague qui appartient à ma mère, une chaine au poignet que Reina m'a offert pour mes dix-neufs ans et une autre bague que son père m'a offert. Tous les soirs je les enlève, tous les matins je les remets, je me sens comme « vide » lorsque je ne les porte pas.

Pour ce qui est des vêtements, j'aime bien porter des hauts assez larges qui font aussi offices de robe ou de tunique pour enfin ne mettre qu'un slim ou un leggins fin en dessous. Je ne porte que des chaussures à hauts talons, vous allez rire, mais je ne sais pas marcher correctement si je n'ai pas un minimum de six centimètres sous les pieds. Mes jambes sont assez longues, donc six centimètres suffisent et ça peut monter jusqu'à treize. Je fais un mètre soixante-dix a la base, donc imaginez vous une grande perche avec 10 centimètres !

Rendez vous compte comment on voit le monde différemment avec dix centimètres de plus ?

Caractère :

Et si nous procédions par les qualités et les défauts ? N'est-ce pas une bonne idée pour me décrire ? Allez, je vais faire comme ça. En commençant par les défauts, c'est il y en a un sacré paquet, je peux vous l'assurer.

Défauts : Je suis quelqu'un de très renfermé qui a un peu peur du monde extérieur, l'agoraphobie, vous connaissez ? J'en suis victime. Être dehors, entourée de plein de gens très peu pour moi, déjà lorsqu'on fait un repas de famille je suis à la limite de leur dire « Désolée mais je remonte dans ma chambre. » ... Parfois même j'ai peur de moi ... Auto-phobie hum ? Pourquoi est-ce que j'ai peur de moi ? ... ... ... J'ai peur de la jeune fille malade qui est en moi, je ne suis pas schizophrène hein ! C'est juste qu'il y a deux Sunshine, la malade et l'autre. Et « l'autre » a peur de la malade, elle a peur que celle a qui la vie ne tient qu'à un fil l'emmène loin de sa famille et de ses amis. J'ai aussi ce don pour me foutre facilement de choses qui peuvent paraître importantes, elles me passent au dessus comme ma mère dit si bien. Quelque chose qui insupporte ma demie-soeur, c'est le fait que je ne donne que très rarement mon opinion sur quelque chose, elle qui aime m'embarquer faire les magasins, et me demander si telle ou telle robe lui va tout en sachant très bien que je vais juste la regarder, sans émettre aucun son. Je dit ce que j'ai a dire que lorsque ça concerne ma maladie ... et lors de discutions très sérieuses.

Qualités : Il faut que je me vante à présent ? D'accord ! Avec plaisir ! Non, ce n'est pas vrai. Voilà une de mes qualités, je suis très modeste, jamais je n'irais me vanter sur quoi que ce soit que j'ai fait, à moins que j'en sois vraiment fière -comme du premier tee-shirt que j'ai fait par exemple- ... Hum sinon, je suis a l'écoute des autres, je ne donne mon avis sur rien mais je les conseille, je leur donne des astuces pour la vie, elles ne sont pas toujours bonnes mais au moins ils ont l'impression que je suis agréable avec eux. Je suis particulière car dès que je vois une personne je peux me dire si je vais l'aimer ou non, est-ce une qualité ? Pour moi oui car ça me sauve de beaucoup de situation idiotes et embarrassantes... Aussi, je ne sais pas si c'est une qualité ou un défaut, c'est que j'ai tendance à beaucoup garder les choses importantes pour moi, je ne les raconte pas, de peur qu'elles perdent leur importance... Idiot n'est-ce pas ?

Histoire:

L'origine de mon prénom est simple, je suis née un neuf aout, jour de canicule à Séoul il y a vingt ans. Mes parents avaient décidé que mon prénom serait Sun Chan, mais le premier jours après ma naissance ma mère a fourbé et elle a dit Sunshine, il a donc été décidé qu'il resterait ainsi et qu'il serait plus facile pour moi si jamais plus tard je voulais travailler ou voyager en dehors de la Corée. Ah oui ! La Corée. En fait, mes deux parents sont Japonais mais pour leur travail ils devaient sans arrêt faire des voyages à Séoul et à Busan, c'est pour ça qu'au final ils avaient décidé d'y habiter, et de me choisir un prénom coréen pour se le rappeler. Mais au finale j'ai un prénom américain et on habite de nouveau au Japon avec maman.

J'ai été élevée dans la bonne humeur avec quelques fois des bas mais jamais rien de très grave.

Ça c'était jusqu'à mes cinq ans. Un jour lorsque j'allais à l'école j'ai perdu l'équilibre, jusque là rien de grave, mais deux jours après ça a recommencé, c'est mes deux genoux qui ont tronqué. Hospitalisation d'un mois et de multiples points de suture. De nouveau sur pieds je suis retournée sur les bancs de l'école mais pas pour bien longtemps, j'étais tombée une nouvelle fois et je perdais sans arrêt l'équilibre, j'avais des difficultés à prononcer certaines syllabes et a tenir les choses dans mes mains. L'hôpital serait ma deuxième maison, je l'avais compris le jour ou une infirmière avait appelé mes parents en disant « il faudrait que Sunshine passe des examens ». Le soir même j'avais déjà ma chambre blanche et des branchements aux bras. Le lendemain je devrais passer un scanner et d'autres sortes de tests bizarroïdes. J'avais alors huit ans.

Mes parents, comme des bons parents d'ailleurs, m'ont d'abord caché ce que j'avais, mais je n'étais pas idiote, je savais que ce n'était pas une laryngite ni une autre de ces maladies infantiles. Ce que j'avais c'était grave, et ça m'ennuyait. J'avais dix ans. J'étais hospitalisée non-stop depuis cinq ans à présent, et je n'avais plus qu'une seule maison, l'hôpital. J'avais cette étrange impression d'avoir vieillit de vingts ans en seulement cinq, je ne buvais plus qu'à la paille sinon j'en mettais partout, pleins de petites choses comme ça s'accumulèrent, je n'en pouvais plus, c'était désagréable de devoir rester enfermée, porter sans arrêt un truc sur la tête pour les cheveux qui tombent, toutes ces choses là étaient devenue mon quotidien détesté. J'avais onze ans. Je su enfin ce que j'avais, « ah oui, d'accord » avais-je simplement répondu, sous le choc.

Okaa-san - « On va vaincre tous les trois, avec papa ces virus ma chérie, t'en fais pas ! Tu te bats déjà bien pour l'instant ! »

Encourageant n'est-ce pas ?

Le lendemain, papa est mort. Il a eu un accident de voiture. Il a foncé dans un mur. Il était saoul. A cause de moi. Parce qu'il ne supportait pas que sa fille soit malade. Parce qu'il ne comprenait pas pourquoi c'était tombé sur moi. Parce qu'il n'arrivait pas à accepter que le sort s'acharne. C'est de ma faute. J'en suis toujours persuadée aujourd'hui, même si j'ai vingts ans et que j'ai, cinq cent mille fois, pesé les raisons de sa mort.

J'eus douze ans, et j'allais mieux, j'avais fais un an de chimiothérapie et la tumeur s'était rétractée à la limite d'avoir disparue. Les médecins étaient confiants, ils disaient tous que je m'en sortirais si je prenais soins de moi à présent. J'étais assez grande pour savoir comment il fallait que je m'y prenne avec certain cachets et autres médicaments comme ça. C'est donc un 9 neuf aout, le jour de mon anniversaire, que je sortis « définitivement » de l'hôpital. Je recommençais maintenant à vivre, ma mère aussi. Elle avait rencontré un homme, apparemment elle l'aimait beaucoup. Jusqu'au jour ou ils décidèrent de se marier. Il était très amoureux de maman apparemment... C'était plutôt bien, non ? ... J'avais quatorze ans. Maman et moi on avait débarqué dans cette grande maison qu'était celle de mon nouveau père. Là bas je découvris une jeune fille qui avait l'air plus vielle que moi ... Mais finalement on avait le même age. Je m'attachai très vite à elle, je n'avais jamais eu de vraie amie et j'espère qu'elle avait conscience qu'elle comptait beaucoup pour moi ...

Toutes les deux nous étions proches, grâce à elle je ne me sentais plus malade, je me sentais vivante et aimée. Elle était vraiment devenue ma soeur, liens de sang ou non, je m'en fichais.

Si je tombe , c'est avec toi
Si je pleure, c'est dans tes bras
Si je sais pas, apprends-moi.

J'eus dix-sept ans, et mon premier chagrin d'amour. Ah et l'école je ne vous en ai pas parlé ! J'ai fait du rattrapage de cours intensif, ce qui fait qu'à dix-huit ans j'avais rattrapé le niveau pour mon age et j'avais simplement décidé de m'arrêter là. les étude, très peu pour moi, la seule chose que j'aimais à présent c'était le dessin. Je n'avais qu'un seul objectif si ma maladie ne gagnait pas sur moi c'était de devenir designer !

A dix-neuf ans, j'eus une légère rechute de mes capacités ce qui me m'amena à une nouvelle hospitalisation d'un mois. Je ressorti en assez bonne santé, une nouvelle fois, mais avec l'obligation de venir passer des examens mensuels. C'est là que je rencontrai Naoki, un jeune homme de deux ans de plus que moi. C'était dingue ce qu'il ressemblait à la première personne que j'avais aimé... On devint très vite amis, il savait pour ma maladie, il connaissait mon histoire familiale, je me confiais vraiment très facilement à lui et aussi, il lit en moi comme dans un livre ouvert, j'ai vingt ans.

Relations :

• Abe Reina : C'est ma demie-soeur, la fille de mon beau père. J'ai été contente d'apprendre que j'aurai une soeur quand maman s'est remariée. Avant j'étais enfant unique, et je trouvais ça vraiment ennuyant. Je suis heureuse qu'elle soit là à présent, nous sommes très proches en plus.

• Naoki Ishida : Naoki est un jeune homme que j'ai rencontré dans un centre commercial, je sortais de mes examens mensuels et je voulais faire quelques courses, sauf que je me suis trouvée mal, et c'est lui qui m'a « sauvée ». Le lendemain à l'hôpital, quand je me suis réveillée c'était lui qui était à mes côtés... Depuis je ne peux plus ne pas penser à lui pendant deux jours...

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III- HORS RP

Surnom : Keiko.
Âge : 17 ans.
Pays : France.
Comment tu trouves le forum ?: Agréable, sinon je ne ferais pas autant de comptes XD
Comment as tu connus le forum ? DC : Choi Yo Ri.
Level de RP: Je dirais assez bon tout de même.

Code: Veux-tu jouer avec moi ? *Q*
Personnalité sur l'avatar : Victoria - F(x)

Bienvenue =D

Merci~ o/